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SOCIÉTÉ EUROPÉENNE D'ÉTUDES ET DE RECHERCHES ÉCOSSAISES
S.EU.RE
LETTRE ÉLECTRONIQUE N° 26
Versailles, le 10 juillet 2025
Chers adhérents,
Ainsi que notre Très Cher Frère Alain de KEGHEL vous l’annonçait dans une précédente correspondance, l’Assemblée Générale Ordinaire (virtuelle) de notre association a bien eu lieu le 3 juin dernier. Grâce aux votes que vous avez exprimés, le quorum étant atteint, les résolutions proposées ont toutes pu être adoptées.
Les rapports ont été approuvés et le quitus donné.
Un nouveau Bureau a été constitué :
- Présidente, Ysabeau TAY BOTNER,
- Vice-Président : Max BOJARSKI,
- Secrétaire : Cyrille RITTER,
- Trésorière : Erika PESCHARD-ERLIH.
Nous vous remercions pour la confiance que vous nous accordez. Nous nous efforcerons de poursuivre fidèlement les objectifs de l’Association, en portant au plus haut l’étendard déjà dressé.
Les formalités administratives ayant été remplies, nous pouvons dès à présent nous mettre à l’écoute et à l’œuvre, afin de travailler dans la continuité.
L’heure européenne exige de nous le renforcement des liens déjà tissés, entre Initiés de toutes Obédiences et Juridictions écossaises, pour une réflexion de qualité et une action appropriée, de tous les talents tous rites confondus, au service de notre Humanité.
Le prochain numéro de KILWINNING est en préparation, ainsi que le suivant.
À la suite du succès du Colloque de Bourges, en novembre dernier, de nouvelles manifestations seront envisagées, vraisemblablement avec nos partenaires connus : Les Rencontres d’Aubigny, le Cénacle, la Loge d’Études et de Recherches AD EUROPAM, le Triangle Darwin et le S.C.R.E à Bruxelles, mais peut-être aussi de nouveaux alliés, comme la Loge de Recherche MNÉMOSYNE du S.C.F.F.
Les Actes du Colloque de Bourges ont été soumis à votre lecture, ainsi que le numéro 17 de la revue KILWINNING, que vous avez dû recevoir par courrier durant ce mois de juin. Si certains d’entre vous ne les avaient pas reçus, merci de nous le faire savoir.
Notre nouvelle adresse : Questo indirizzo email è protetto dagli spambots. È necessario abilitare JavaScript per vederlo.
Les Actes du Colloque de Bourges publiés chez NUMERILIVRE ont été très appréciés, et vont devoir faire l’objet d’une ré-impression, prévue pour la rentrée. Quelques exemplaires restent cependant disponibles auprès de la maison d’édition : Site de Vente : www.numerilivre.fr
Et sinon auprès de la Fnac, par Amazon, ou auprès de votre libraire sur demande.
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Mardi 16 septembre 2025 – De 20h à 22h : « Le monde global est-il universel ? »
Le 16 septembre prochain, la GRANDE LOGE NUMÉRIQUE consacrera sa soirée à la présentation de ces Actes auprès de son auditoire international. Si vous souhaitez participer à cette visio-conférence, il faut vous inscrire auprès de :
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Chers adhérents, au nom des membres du Conseil d’Administration, je souhaite adresser toute notre chaleureuse reconnaissance à notre Très Frère Alain de KEGHEL, qui a conçu et donné vieà la Société Européenne d’Études et de Recherches Écossaises.
Sa pensée et son action, associées à vos soutiens et contributions, ont permis de constituer une collection unique d’articles et de conférences de référence. L’index des parutions, dressé par notre Très Chère Sœur Erika PESCHARD-ERLIH en témoigne. Nous disposons d’un fonds écossais de réflexion remarquable et intemporel.
Je soumettrai prochainement une proposition au Conseil d’Administration en vue de pérenniser encore davantage nos publications grâce à l’outil numérique, pour une consultation facile et directe des textes édités depuis 2007.
Nous savons que notre Frère Alain de KEGHEL nous accompagnera tout au long de ce passage de témoin, et nous lui exprimons aujourd’hui notre plus sincère et profonde gratitude, pour la dimension infinie des champs qu’il a ouverts et continue d’ouvrir.
Merci à tous et toutes pour votre confiance, et vos soutiens, matériels et immatériels de tous ordres. J’espère que nous marcherons ensemble longtemps sur la voie écossaise et européenne tracée par la S.EU.RE., et je vous adresse, au nom du Conseil d’Administration, mes sentiments dévoués et très fraternels.
Pour le Conseil d’Administration,
Ysabeau TAY BOTNER
Ysabeau TAY BOTNER
3, Boulevard du Roi,
78000 VERSAILLES, FRANCE.
+33 (0)6.80.17.74.46
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Le monde global est-il universel ?
Dans la lumière tamisée d’un cabinet de réflexion, là où le silence épouse la pensée comme l’ombre épouse la lumière, Le monde global est-il universel ? – Kilwinning – Numéro spécial et Actes du Colloque de Bourges du 30 novembre 2024, publié par la S.EU.RE – s’impose tel un miroir tendu à la conscience de notre temps, mais aussi à l’âme de l’initié en quête d’unité. Sous cette interrogation apparemment simple se cache une méditation à plusieurs voix sur la condition spirituelle de l’humanité contemporaine : celle d’un monde globalisé qui semble avoir oublié le souffle de l’universel, au risque de ne plus savoir ce qu’il signifie être un Frère parmi les hommes.
Dès les premières pages, la densité vibratoire du propos s’impose. Georges Lassous, en ouvrant les travaux, invite à cette posture d’écoute intérieure où l’intelligence se fait contemplation. Alain de Keghel, dans ses mots d’accueil, pose les fondements de ce chantier de réflexion : affranchie des appartenances obédientielles, la S.EU.RE devient un sanctuaire de l’esprit, un espace de pensée libre où l’Europe n’est plus une entité géographique, mais une respiration spirituelle. L’ouverture solennelle de Maixent Lequain déploie alors le fil rouge du colloque : faire dialoguer la mémoire initiatique avec les urgences du présent, sans céder ni au désenchantement ni à l’abstraction.
Chaque contribution devient alors un sillon profond dans ce champ symbolique. Olivier Ihl, dans une analyse magistrale, confronte le rêve d’un monde fraternel à la montée des populismes, cette forme contemporaine d’aveuglement collectif qui mine les fondations mêmes du dialogue et de l’altérité. Charles Susanne, dans une approche à la fois biologique et spirituelle, interroge les fondements d’un universalisme écologique : l’homme, en niant sa reliance avec la nature, trahit aussi l’universel en lui.
Ysabeau Tay Bother ose une question audacieuse : « L’Universel, une utopie ? » Mais loin d’en conclure à une négation, son texte nous conduit à l’orée d’une promesse – celle d’un idéal qui n’est pas une fin, mais un chemin, une ascèse de la pensée. La seconde intervention de Maixent Lequain, « Si tous les maçons du monde », vient comme une respiration fraternelle. Elle résonne comme une incantation poétique : et si le rêve de l’universel passait par le geste patient de chaque Franc-Maçon posant sa pierre, non pour uniformiser, mais pour accorder ?
La voix de Corinne Perchet explore quant à elle le lien entre l’universel et la littérature. Car c’est bien là aussi que se joue la quête : dans les mots, les récits, les mythes qui fondent une mémoire partagée. La littérature devient alors un miroir de l’universel, ou plutôt, un chantier où se taillent les pierres du sens. L’universel y est affronté, parfois blessé, mais toujours recherché dans la complexité vivante du langage humain.
Léo Urgel, avec rigueur et hauteur de vue, replace la Déclaration universelle des droits de l’homme – adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 à Paris.
Cette charte, fruit d’un moment de clarté dans l’histoire tourmentée du XXe siècle, est aujourd’hui soumise à l’épreuve du réel. Ses acquis sont menacés, non tant par la critique rationnelle que par l’érosion lente du sens commun. L’universel n’est pas qu’un droit : il est une responsabilité.
Enfin, Sergio Cianella conclut cette fresque par une méditation sur l’universalité et la mondialisation. Il nous rappelle, avec gravité, que l’universel ne se décrète pas : il se construit, à travers le dialogue des différences, dans un travail constant de décantation. La mondialisation, en nivelant les singularités, menace de réduire l’universel à un décor vide. Mais il reste, pour qui sait voir, des lignes de force invisibles, des traces de lumière, des vestiges de l’Ordre. Alain de Keghel
Et c’est Alain de Keghel, une fois encore, qui referme cet ouvrage en tissant les fils de cette tapisserie fraternelle. Il ne donne pas de conclusion, mais un appel : celui de ne jamais renoncer à l’idéal, même dans le fracas du monde. L’universel véritable n’est ni donné ni perdu : il est à bâtir, chaque jour, dans le cœur de l’initié, sur les chantiers visibles et invisibles de notre monde.
Ce livre est bien plus qu’un recueil d’actes : c’est une œuvre de reliance. Une loge ouverte à l’échelle du continent, un Temple où les pierres s’appellent populisme, écologie, droits de l’Homme, langage, tradition. Mais aussi écoute, fraternité, vigilance, espérance. En ces temps d’incertitude, la S.EU.RE nous rappelle que penser est un acte de foi, et que la Franc-Maçonnerie peut encore offrir à l’Europe – et au monde – une voie d’universalité patiente, dense et exigeante.
Le monde global est-il universel ?
S.EU.RE – Actes du Colloque conjoint de 2024 Éditions
Numérilivre, 2025, 128 pages, 20 €
Sources :
https://www.gldf.org/le-monde-global-est-il-universel/
https://www.gldf.org/tag/yonnel-ghernaouti/
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Il mondo globale è universale?
di Yonnel Ghernaouti (traduzione dal francese a cura di Barbara de Munari)
Nella luce soffusa di un “gabinetto di riflessione”, dove il silenzio abbraccia il pensiero come l'ombra abbraccia la luce, Il mondo globale è universale? – Kilwinning – Numero speciale e Atti del Convegno di Bourges del 30 novembre 2024, pubblicato da S.EU.RE – si staglia come uno specchio rivolto alla coscienza del nostro tempo, ma anche all'anima dell'iniziato in cerca di unità. Sotto questa domanda apparentemente semplice si cela una meditazione a più voci sulla condizione spirituale dell'umanità contemporanea: quella di un mondo globalizzato che sembra aver dimenticato il respiro dell'universale, a rischio di non sapere più cosa significhi essere un Fratello tra gli uomini.
Fin dalle prime pagine, la vibrante densità del tema è evidente. Georges Lassous, in apertura dell'opera, ci invita ad adottare questa posizione di ascolto interiore dove l'intelligenza diventa contemplazione. Nel suo discorso di benvenuto, Alain de Keghel getta le basi di questo lavoro di riflessione: liberato dall'obbedienza, la S.EU.RE diventa un santuario dello spirito, uno spazio di libero pensiero in cui l'Europa non è più un'entità geografica, ma un respiro spirituale. La solenne apertura di Maixent Lequain dispiega poi il fil rouge del convegno: mettere in dialogo la memoria iniziatica con le urgenze del presente, senza cedere né al disincanto né all'astrazione.
Ogni contributo diviene così un solco profondo in questo campo simbolico. Olivier Ihl, in un'analisi magistrale, confronta il sogno di un mondo fraterno con l'ascesa del populismo, questa forma contemporanea di cecità collettiva che mina le fondamenta stesse del dialogo e dell'alterità. Charles Susanne, con un approccio al tempo stesso biologico e spirituale, mette in discussione i fondamenti dell'universalismo ecologico: negando il suo legame con la natura, l'uomo tradisce anche l'universale che è in sé.
Ysabeau Tay Bother osa una domanda audace: “L'Universale, un'utopia?”. Ma lungi dal concludersi con una negazione, il suo testo ci conduce sull'orlo di una promessa: quella di un ideale che non è un fine, ma un cammino, un’ascesi del pensiero. Il secondo contributo di Maixent Lequain, “Se tutti i Massoni del mondo”, giunge come un respiro fraterno. Risuona come un incantesimo poetico: e se il sogno dell'universale nascesse dal gesto paziente di ogni Massone che posa la sua pietra, non per uniformare, ma per armonizzare?
La voce di Corinne Perchet esplora il legame tra l'universale e la letteratura. Perché è anche lì che si gioca la ricerca: nelle parole, nelle storie, nei miti che formano una memoria condivisa. La letteratura diventa così uno specchio dell'universale, o meglio, un cantiere dove si scolpiscono le pietre del significato. L'universale viene affrontato, a volte ferito, ma sempre ricercato nella complessità vivente del linguaggio umano.
Léo Urgel, con rigore e intuizione, riposiziona la Dichiarazione Universale dei Diritti dell’Uomo, adottata dall'Assemblea Generale delle Nazioni Unite il 10 dicembre 1948 a Parigi. Questa carta, frutto di un momento di chiarezza nella turbolenta storia del XX secolo, è oggi sottoposta alla prova della realtà. I suoi risultati sono minacciati, non tanto dalla critica razionale quanto dalla lenta erosione del senso comune. L'universale non è solo un diritto: è una responsabilità.
Infine, Sergio Cianella conclude questo affresco con una meditazione sull'universalità e la globalizzazione. Ci ricorda con solennità che l'universale non può essere decretato: si costruisce attraverso il dialogo delle differenze, in un costante processo di decantazione. La globalizzazione, livellando le singolarità, minaccia
di ridurre l'universale a uno sfondo vuoto. Ma permangono, per chi sa vedere, linee di forza invisibili, tracce di luce, vestigia di Ordine.
Ed è ancora Alain de Keghel a chiudere quest'opera, tessendo i fili di questo arazzo fraterno. Non offre alcuna conclusione, ma un appello: quello di non rinunciare mai all'ideale, nemmeno nel tumulto del mondo. Il vero universale non è né dato né perduto: si costruisce, ogni giorno, nel cuore dell'iniziato, sui cantieri visibili e invisibili del nostro mondo.
Questo libro è molto più di una raccolta di atti: è un'opera di connessione. Una loggia aperta al continente, un Tempio le cui pietre si chiamano populismo, ecologia, diritti umani, linguaggio e tradizione. Ma anche ascolto, fraternità, vigilanza e speranza. In questi tempi di incertezza, la S.EU.RE ci ricorda che pensare è un atto di fede e che la Massoneria può ancora offrire all'Europa – e al mondo – un cammino verso un'universalità paziente, completa ed esigente.
Il mondo globale è universale?
S.EU.RE – Atti della Conferenza congiunta 2024
Numérilivre, 2025, 128 pagine, €20
Fonti:
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LETTRE ÉLECTRONIQUE N°24
Annonce du colloque de Bourges et rapport d’activités
Paris, le 25 septembre 2024
Chers adhérents,
Le moment de la rentrée est venu et c’est l’occasion de reprendre contact avec vous pour vous informer de la vie associative en vous remerciant de votre fidélité.
Le volume N° 16 de notre publication KILWINNING est paru avec l’habituelle ponctualité et doit vous être parvenu au mois de juillet. Son prix est inclus dans la cotisation mais nous avons pu, en dépit d’un contexte économique tendu, négocier le prix d’impression avec un nouvel imprimeur et revenir à celui de 10 € tandis que les frais postaux ont sensiblement augmenté.
Ces derniers mois ont été mis à profit pour veiller à pérenniser nos activités d’études et de recherches, notamment par la collecte d’articles de qualité au travers du vaste réseau européen de correspondants nous apportant leurs concours au maintien d’une ligne éditoriale diversifiée et exigeante.
L’évolution des effectifs de nos adhérents demeure relativement modeste mais stable grâce à de nouvelles adhésions tandis que certains membres ont malheureusement dû être radiés ou sont décédés. Nous comptons beaucoup sur chacune et chacun d’entre vous pour concourir dans votre entourage à gagner de nouvelles adhésions et vous en remercions par avance.
Par ailleurs nous vous annonçons dès à présent que notre assemblée générale annuelle se tiendra prochainement en mode virtuel et vous demanderons d’y participer selon les modalités habituelles.
Enfin, après plusieurs années, il nous est apparu opportun de renouer avec les colloques et grâce à nos réseaux européens nous avons pu travailler à préparer, en lien avec les Rencontres d’Aubigny, celui qui se tiendra à Bourges le samedi 30 novembre 2024 le thème : Le monde global est-il universel ? Il fait l’objet d’une invitation jointe à cette lettre électronique et suppose de s’y inscrire. Le actes de ce colloque feront l’objet d’une publication dans un volume de KILWINNING et, par ailleurs, d’une diffusion extérieure innovante en collaboration avec Numerilivre.
Pour le Conseil d’administration, Alain de KEGHEL
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Société Européenne d’Études et de Recherches Écossaises S.EU.RE /
RENCONTRES ÉCOSSAISES D’AUBIGNY 2024
COLLOQUE INTERNATIONAL : Le monde global est-il universel ?
Samedi 30 novembre 2024
Temple de Bourges – 38 boulevard Chanzy
TT\CC\FF\ et SS\,
Comme nous l’avions déjà fait en 2016, les Rencontres Écossaises d’Aubigny prendront cette année à nouveau une forme particulière en renouant avec les précédentes réunions du genre avant le COVID 19, à savoir un colloque international comportant cette fois-ci les collaborations du groupe de réflexion LE CENACLE, de la loge d’Études et de Recherches AD EUROPAM (G.O.D.F) ainsi que le concours du Triangle belge DARWIN et d’un conférencier du Souverain Collège du Rite Écossais (SCRE) pour la Belgique. Beaucoup d’entrevous connaissent déjà S.EU.RE, ne serait-ce qu’au travers de la revue Kilwinning qu’elle édite annuellement.
Le thème du colloque est le suivant : Le monde global est-il universel ?
Les interventions et les échanges se feront uniquement en français.
Programme de la journée :
- 09h00 : Accueil.
- 9h30- 9h45 : Ouverture du colloque par Georges Lassous (Rencontres d’Aubigny), Alain de Keghel (S.EU.RE) et Maixent Lequain (Cénacle).
- 9h45-10h05 : Intervention de M. Olivier Ihl, professeur des universités, IEP Grenoble : Le monde au défi des populismes.
- 10h10-10h30: Intervention de M. Charles Susanne, docteur en biologie, professeur des universités : Enjeux environnementaux, énergétiques, économiques et sociaux.
- 10h35-11h00 : Intervention de Mme Ysabeau Tay Botner, journaliste, artiste peintre : L’universel, une utopie ?
- 11h00 -12h00 : Débat et échanges avec la salle, animés par M. Maixent Lequain.
- 12h00 - 13h30 : Apéritif et repas en salle humide.
- 13h45 - 14h10 : Intervention de M. MaixentLequain, avocat : Si tous les Maçons du monde…
- 14h15- 14h35 : Intervention de Mme Corinne PERCHET professeure de lettres classiques : l’universel confronté à la littérature.
- 14h40- 15h00 : Intervention de M. Léo Urgel, Master of Business, administrateur logement social: La Déclaration universelle des droits de l’Homme, point de la situation, des acquis et menaces.
- 15h00- 17h00 : Débat et conclusions par Alain deKeghel.
Merci de vous inscrire à l’aide du bulletin ci-dessous impérativement avant le 12 novembre 2024. Le nombre de places étant limité, les inscriptions seront prises en compte dans l’ordre d’arrivée, l’accès étant réservé aux initiés.
La participation demandée comprend l’inscription au colloque et le prix du repas : il n’est pas possible de dissocier les deux.
Soyez assurés, TT\CC\FF\ et SS\, de mes sentiments les plus fraternels.
Georges LASSOUS
Colloque international de S.EU.RE
Samedi 30 novembre 2024– Bourges
Bulletin d’inscription
(à retourner avant le 12 novembre 2024 à
Georges Lassous – 29 rue du 1er Régiment d’Artillerie – 18000 Bourges)
Nom : …………………………………….. Prénom : ………………………………
Adresse : ………………………………………………………………………………..
Courriel : ………………………………………………………………………………..
Téléphone : ……………………………………………………………………………..
Loge……………….......................... Orient……………….. Obédience ………………
S’inscrit au colloque international de S.EU.RE du 30 novembre 2024 à Bourges.
Règlement (chèque à établir à l’ordre de S.EU.RE ) :
- Membres adhérents de S.EU.RE (à jour de leur cotisation) : 25,00€
- Non membres de S.EU.RE : 40,00 €
Date :
Signature :
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Cari membri,
Avete ricevuto il nostro biglietto di auguri con l'avvicinarsi delle vacanze di fine anno, ma è giunto anche il momento di formulare le nostre aspettative, le nostre speranze, le nostre riflessioni e di proiettarci con voi verso il 2024, alle soglie di questo nuovo anno pieno di incertezze.
L’Europa e l’ideale di pace che essa porta con sé si trovano ad affrontare, come il nostro intero pianeta, sfide che speravamo appartenessero al passato. Il tempo degli imperi è risolutamente tornato, con la sua dose di usurpazioni, eccessi, confronti, anche di rimessa in discussione degli alti valori che abbiamo nutrito a partire dal XVIII secolo, con la speranza che finissero per conquistare gli animi e divenire universali come proclamiamo con convinzione.
L'«Utopia» di Tommaso Moro e il sogno del cavaliere di Ramsay, cui tanto amiamo riferirci, sono più che mai contrastati alle porte del nostro continente, in Ucraina, ma anche un po' ovunque, dove nascono e prosperano nuovi focolai d’instabilità e di guerra, ai quali la comunità internazionale fatica a reagire.
I massacri perpetrati il 7 ottobre 2023 nel sud di Israele e le loro conseguenze a Gaza o in Cisgiordania sono una delle manifestazioni barbariche più terrificanti e allo stesso tempo rivelatrici del fatto che all'ordine internazionale, nato nel 1945 alla fine della Seconda Guerra mondiale è subentrato un mondo ormai frammentato, antagonista e divenuto impotente.
Un «sud globale» si sta affermando di fronte a un Occidente che vede contestato il suo primato mentre una nuova linea di frattura tende a isolarlo dal resto del mondo.
Una simile situazione chiama più che mai gli umanisti, gli Europei idealisti e universalisti che siamo, a dimostrare innanzitutto una presa di coscienza collettiva di queste rotture che i nostri amici tedeschi descrivono così bene e lucidamente come «Zeitwende»: un punto di svolta nella storia.
Questo è soprattutto il motivo per cui, rinnovando le Giornate di Aubigny, prevediamo per il 2024 di dedicare un convegno a Bourges, designata Capitale Europea della Cultura per il 2028.
L'Europa è ontologicamente orientata verso la pace che è la sua ragion d'essere. Seguendo l’esempio della riconciliazione franco-tedesca, l’Europa sta inviando al mondo un messaggio a favore della conciliazione e non dello scontro. Noi Massoni, con tutta umiltà, non dobbiamo né sottovalutare né trascurare la forza del messaggio che abbiamo ereditato. Questo è anche ciò cui, nell'ambito dei nostri lavori di ricerca e di studio, cerchiamo di contribuire con il nostro modesto contributo.
Ringraziamo, qui, ognuno e ognuna di voi.
E avviciniamoci dunque all’anno 2024, che sarà anche quello di una scadenza elettorale europea piena di pericoli, con lucidità e nel segno di una ferma volontà di non arrendersi perché non esiste alcuna fatalità.
Alain de KEGHEL _Presidente SEURE
Parigi, 23 dicembre 2023 [Traduzione dal francese a cura di Barbara de Munari].
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